04/09/2009

Who’s Georges Abitbol ?



Pour ceux qui vivraient dans un caisson à oxygène en hommage à Jackson-le-Blanc-sans-Nez. Et qui ne sauraient toujours pas qui est l’unique, le merveilleux Georges Abitbol, je me propose d’être utile à la société et de rappeler le bouzin une dernière fois…
Georges Abitbol est considéré de manière internationale comme l’homme le plus classe du monde. D’où le chef d’œuvre du 7e Art qui lui a été dédié et qui a modestement été baptisé La Classe américaine… Une superprod qui démarre par cette étrange phrase « Attention ! ce flim n'est pas un flim sur le cyclimse. Merci de votre compréhension ».
Bref, l’histoire de ce culte movie commence par la mort de l’homme le plus classe de monde, George Abitbol (alias John Wayne), au large de l'atoll de Pom Pom Galli, situé entre l'Australia et la South America, dans l'Ocean South Pacifique.
Juste avant de clamser, les dernier mots du héros de la Warner furent bien étrangement « Monde de merde ». Du coup, les journalistes Dave (Paul Newman), Peter (Dustin Hoffman) et Steven (Robert Redford) enquêtent afin de découvrir pourquoi cet étalon de la courtoisie aurait si brutalement cédé à la vulgarité…
Une investigation toujours en cours à ce jour, et que personne n’a jamais pu élucider vu le glamour légendaire du gentleman !
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02/09/2009

Septembre pourri…

Avec deux semaines de vacances et deux journées pédagogiques (y'en a franchement qui abusent), le mois de septembre ne compte que 10 malheureux jours d'école. Et pourtant…
Ni le transporteur, ni la garderie-cantine ne baissent leurs tarifs, qui avoisinent – en maternelles – les 30 000 patates.
Si l'on compte qu'un stage d'une semaine à plein temps coûte environ 20 000 boules et qu'il faut multiplier les boules par deux (et c'est peu de le dire !).
Ceux qui travaillent, et qui n'ont a priori pas le loisir de quitter leur taf à 10h30 puis à 13h sous peine de passer pour des branleurs hors compétition.
Ceux qui n'ont pas de famille dispo, ni de nounou à domicile genre Madame est servie. Tous ceux-là peuvent compter 70 000 francs juste pour les loisirs de chacun de leurs enfants.
Et là, c'est évidemment le moment où l'on bénit le ciel de ne pas avoir eu de quintuplés.
Et où l'on maudit ses parents de ne pas avoir pensé à nous dire de faire absolument une carrière dans l'enseignement outre-mer…
Monde de merde, comme dirait Georges Abitbol !
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31/08/2009

Pire to pire…



Je ne voudrais pas faire la maline (ce serait mal venu), mais ceux qui ont lu le post juste en dessous pourront juger sur pièce de l'intérêt de cette fameuse interdiction de vente d'alcool le week-end…
Respect pour les familles endeuillées et neurones sous tensions pour des institutions comateuses, trop facilement retranchées derrière des mesures provisoire très aléatoires.
Sinon, quoi de neuf ? Ben y'paraît que les coutumiers viennent tout juste de se rendre compte que la jeunesse du pays explosait les soupapes et serrait le moteur. Trop de paka et de bouteilles carrées… Genre de révélation ! Sont finaud les mecs pour avoir déceler le truc subitement. N'travailler c'est trop dur, n'cultiver ça rapporte, y'a du business dans l'air et j'peux pas m'en passer. Allez, on reprend tous en chœur…
Pendant ce temps, sur la bédé ou dans les belles maisons des SQ (South Quarters), figurez-vous que les anciens feraient bien de s'inquiéter à leur tour (pas de St Quentin, non, non, non…). Parce que là-bas, ça fait longtemps que le joint c'est juste un jouet et que l'alcool c'est total bidon (de 5 litres Veuve Clitruc). Dans la belle maison du boss (parti avec Môman chez les Pokens), on consomme des bonbons qui donne des airs d'hamsters sous exscta, des buvards bien gavés qui font planer et des traits longs comme des nuits sans lexo. Mais quand on s'appelle Corentin le malin, Marie-Charlotte l'escalope ou Isabeau l'escabeau on est salement victime du délit de bonne gueule. Et on n'est pas prêts de se faire repérer. Par contre, pour les neurones, c'est pour tout le monde pareil. Pas de quartier…
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