31/08/2009

Pire to pire…



Je ne voudrais pas faire la maline (ce serait mal venu), mais ceux qui ont lu le post juste en dessous pourront juger sur pièce de l'intérêt de cette fameuse interdiction de vente d'alcool le week-end…
Respect pour les familles endeuillées et neurones sous tensions pour des institutions comateuses, trop facilement retranchées derrière des mesures provisoire très aléatoires.
Sinon, quoi de neuf ? Ben y'paraît que les coutumiers viennent tout juste de se rendre compte que la jeunesse du pays explosait les soupapes et serrait le moteur. Trop de paka et de bouteilles carrées… Genre de révélation ! Sont finaud les mecs pour avoir déceler le truc subitement. N'travailler c'est trop dur, n'cultiver ça rapporte, y'a du business dans l'air et j'peux pas m'en passer. Allez, on reprend tous en chœur…
Pendant ce temps, sur la bédé ou dans les belles maisons des SQ (South Quarters), figurez-vous que les anciens feraient bien de s'inquiéter à leur tour (pas de St Quentin, non, non, non…). Parce que là-bas, ça fait longtemps que le joint c'est juste un jouet et que l'alcool c'est total bidon (de 5 litres Veuve Clitruc). Dans la belle maison du boss (parti avec Môman chez les Pokens), on consomme des bonbons qui donne des airs d'hamsters sous exscta, des buvards bien gavés qui font planer et des traits longs comme des nuits sans lexo. Mais quand on s'appelle Corentin le malin, Marie-Charlotte l'escalope ou Isabeau l'escabeau on est salement victime du délit de bonne gueule. Et on n'est pas prêts de se faire repérer. Par contre, pour les neurones, c'est pour tout le monde pareil. Pas de quartier…
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